Aviron
Secondaire - Interscolaire 2025
- Consultez Natation (enseignement) si une activité connexe (par exemple, baignade ou évaluation de la natation dans l’eau) est prévue dans une piscine.
- Consultez Plein air (natation - enseignement) si une activité connexe (par exemple, baignade ou évaluation de la natation dans l’eau) est prévue dans une zone de baignade désignée en zone riveraine dans un lac, un étang ou une rivière.
Équipement
- Les élèves qui ne réussissent pas l’évaluation de la natation dans l’eau ou qui n’ont pas de certification Étoile de bronze (ou d’un niveau supérieur) doivent porter un VFI ou un gilet de sauvetage homologué au Canada, bien ajusté et attaché, en tout temps sur la terrasse et dans l’eau. Voir « Évaluation de la natation dans l’eau » dans la section « Règles et consignes particulières ».
- L’entraîneur/coordonnateur communautaire de l’entraînement et toutes les personnes qui aident au déroulement de l’activité nautique (par exemple, instructeurs qualifiés, bénévoles) et qui sont à proximité de l’eau (lorsque la profondeur de l’eau pose un risque), sur l’eau ou dans l’eau doivent porter en tout temps un vêtement de flottaison individuel (VFI) ou un gilet de sauvetage muni d’un sifflet ou d’un autre dispositif de signalisation, homologué au Canada, bien ajusté et attaché.
- Inspectez la coque avant chaque utilisation (par exemple, vérifiez la présence de trous, de fissures, de quincaillerie mal serrée).
- Durant les pratiques, chaque coque doit être munie d'un appareil de signalisation et d'une lampe de poche étanche.
- Après le coucher ou avant le lever du soleil et lorsque la visibilité est mauvaise, il faut utiliser des feux de navigation fixés à l’embarcation, comme le précise le Guide de sécurité nautique de Transports Canada.
- Les régates doivent être sanctionnées par Rowing Canada Aviron et satisfaire à toutes les exigences en matière de sanctions, comme le prévoit l’agent des sanctions provinciales.
- Le bateau de l’entraîneur doit être motorisé et muni de l'équipement requis par les règles à suivre du Guide de sécurité nautique de Transports Canada. Par exemple :
- Un vêtement de flottaison individuel (VFI)/gilet de sauvetage homologué CSA de taille appropriée pour chacun des passagers
- des pagaies
- une écope
- une lampe de poche étanche
- un appareil de signalisation
- un moteur en bon état, avec suffisamment d'essence pour toute la durée de la pratique
- une corde flottante de 23 m (69 pi)
- Le moteur du bateau de l’entraîneur doit être en marche avant que les élèves quittent le quai.
Embarcation
- La coque doit être inspectée avant chaque utilisation (par exemple, vérifier la présence de trous, de fissures, de quincaillerie mal serrée).
- La coque doit être munie d’une boule de proue (de l’avant) en bon état.
- Les chambres de flottaison doivent être bien fermées par des clapets étanches.
- Chaque coque doit être munie d’un appareil de signalisation et d’une lampe de poche étanche.
- Lorsque les cale-pieds, les chaussures ou d’autres dispositifs tenant les pieds resteront dans les coques, chaque cale-pied ou dispositif tenant les pieds monté sur la coque sera retenu indépendamment pour limiter la levée du talon à un maximum de 7 cm. De plus, lorsque les lacets, le Velcro ou des matériaux similaires doivent être détachés avant que le rameur puisse retirer ses pieds des cale-pieds ou d’un autre dispositif, le rameur doit pouvoir s’en libérer immédiatement en tirant d’une seule main sur une sangle facilement accessible. Lorsque les cale-pieds ou autres dispositifs tenant les pieds ne restent pas dans la coque, chaque cale-pied ou dispositif doit pouvoir être libéré par le rameur sans utiliser ses mains ou par une simple action rapide de la main en tirant sur une sangle ou un dispositif de dégagement facilement accessible.
Embarcation de sécurité
- Une embarcation de sécurité est une embarcation désignée, capable d’effectuer un sauvetage, en tenant compte des facteurs nécessaires (par exemple, distance du rivage, conditions météorologiques, conditions nautiques et vent). À son bord se trouve au moins un entraîneur, un coordonnateur communautaire de l’entraînement ou un instructeur qualifié détenant la certification de secourisme exigée.
- L’embarcation de sécurité doit être motorisée et doit être équipée conformément aux exigences du Guide de sécurité nautique de Transports Canada.
- Le conducteur de l’embarcation de sécurité motorisée doit posséder une carte de conducteur d’embarcation de plaisance, avoir de l’expérience dans la conduite de ce type d’embarcation et connaître les voies navigables (par exemple, les dangers, les rochers, les hauts-fonds) où se déroule l’activité.
- L’embarcation de sécurité motorisée ne doit pas présenter de risque pour la sécurité des participants (par exemple, elle doit maintenir une distance sécuritaire des participants à l’activité et naviguer à une vitesse qui minimise le sillage, sauf en cas d’urgence).
- L’embarcation de sécurité doit être la première embarcation dans l’eau avec des occupants à bord et le moteur en marche avant que les élèves ne quittent la plage, le quai ou l’amarrage et pendant que les élèves sont sur l’eau.
- Un dispositif de remontée à bord est obligatoire lorsque la hauteur verticale qu’une personne doit franchir pour remonter à bord du bateau depuis l’eau (franc-bord) est supérieure à 0,5 m (1′ 8″).
- L’embarcation de sécurité doit être équipée d’un vêtement de flottaison individuel (VFI) ou d’un gilet de sauvetage homologué au Canada pour chaque membre de l’équipage, y compris les élèves portant des VFI gonflables ou des gilets de sauvetage gonflables qui sont sous la supervision/surveillance des occupants de l’embarcation de sécurité.
Vêtements, chaussures, et bijoux
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Il doit y avoir des vêtements secs de rechange sur la rive.
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Tous les passagers du bateau de l'entraîneur doivent porter un vêtement de flottaison individuel (V.F.I.) en tout temps sur l'eau.
Installations
- Si vous utilisez des installations d'aviron intérieures ou d’un club d’aviron, vous devez respecter les règlements et le code de conduite du site.
Quai/Hangar à bateaux
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Des affiches doivent indiquer les dangers et comment circuler à pied (par exemple, restez à droite, le quai est glissant lorsqu'il est mouillé).
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Les entraîneurs doivent connaître le plan d'intervention de secoursime du site, y compris le plan de sauvetage spécifique au site, et le partager avec tous les surveillants et élèves.
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Les spectateurs doivent se tenir loin de la rampe de mise à l'eau et des zones où circulent les coques.
Sur l'eau
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Évaluer en permanence la zone d’entraînement ou de compétition en réglant les problèmes dès qu’ils se présentent (par exemple, retirer la végétation morte ou alerter les équipes pour qu’elles évitent les zones où se trouvent des débris).
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L'entraîneur doit informer les élèves de la présence de débris.
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Remarquez les courants, particulièrement ceux créés par les rapides et les chutes.
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Tous les lieux de pratique et de compétition doivent être exempts de rapides et de chutes.
Zone de baignade désignée
- Lorsque l’évaluation de la natation dans l’eau (voir la section « Évaluation de la natation dans l’eau) a lieu dans une zone de baignade désignée en zone riveraine (lac, étang, rivière), la zone désignée doit :
- Être clairement établie avec des limites physiques définies (par exemple, balisée par des bouées ou des zones de quai fermées);
- Avoir des limites clairement visibles pour les utilisateurs d’embarcations (par exemple, la ligne de bouée est visible pour les utilisateurs d’embarcations et de bateaux à moteur qui occupent le même plan d’eau);
- Être exempte de dangers;
- Avoir une eau de température convenable;
- Disposer d’un poste d’équipement de sauvetage.
Facteurs environnementaux
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Avant de proposer une activité de plein air aux élèves, l'entraîneur doit tenir compte des points suivants :
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les conditions nautiques (par exemple, température, courants, marées, vagues).
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une visibilité d'au moins 500 m (1640 pi) est requise
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Suivez les consignes concernant la température de l'eau spécifiques à chacune des installations d'aviron.
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Les entraîneurs/surveillants doivent connaître les conditions météorologiques, en particulier celles affectant les vents et la visibilité, la température ambiante et les risques d'orage/d'éclairs et la brume.
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L'activité d'aviron doit être annulée lors de mauvais temps (par exemple, dès l'apparition de vague violente).
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Si une tempête s'approche soudainement, trouvez immédiatement un refuge approprié.
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L'activité doit avoir lieu uniquement durant le jour.
Règles et consignes particulières
- L’entraîneur dans son bateau motorisé doit demeurer à moins de 500 m des élèves durant toutes les activités sur l'eau.
Informations médicales concernant les élèves
- L’entraîneur/coordonnateur communautaire de l’entraînement doit savoir qui sont les élèves ayant des affections médicales (par exemple, asthme, anaphylaxie, diabète, épilepsie) pouvant nuire à leur participation. Consultez la section Affections médicales.
- L’entraîneur/coordonnateur communautaire de l’entraînement doit savoir qui sont les élèves qui participent avec des appareils orthopédiques ou des appareils fonctionnels et établir des règles et des procédures de sécurité afin de s’assurer que les élèves peuvent participer aux activités en toute sécurité.
- L’entraîneur/coordonnateur communautaire de l’entraînement doit informer toutes les personnes qui aident au déroulement de l’activité (par exemple, instructeurs qualifiés, moniteurs aquatiques, sauveteurs, bénévoles) des élèves qui ont des besoins particuliers, qui portent des appareils orthopédiques ou des appareils fonctionnels ou qui ont des affections médicales pouvant influer sur leur participation.
Politiques et procédures du conseil scolaire
- Avant de participer, il faut renseigner les élèves sur les commotions cérébrales à l’aide des ressources de sensibilisation aux commotions cérébrales du ministère de l’Éducation ou des ressources sur les commotions cérébrales approuvées par le conseil scolaire. Il faut renseigner les élèves sur :
- le Code de conduite en matière de commotions cérébrales;
- les stratégies de prévention des commotions cérébrales durant l’activité en question et les risques inhérents à l’activité (c’est-à-dire, communiquer les risques et les façons de les réduire);
- les mesures et les règles de sécurité à respecter;
- l’importance de signaler tout symptôme relié à une commotion cérébrale soupçonnée.
- Les élèves doivent confirmer avoir consulté la ressource de sensibilisation aux commotions cérébrales et le Code de conduite en matière de commotions cérébrales avant de participer.
- Il faut consulter les politiques et procédures du conseil scolaire relativement au transport et aux excursions scolaires pour connaître la façon de communiquer avec les parents et personnes tutrices et d’obtenir leur autorisation (par exemple, lieu d’une activité hors site, description de l’activité et de l’environnement physique, moyens de transport, risques inhérents à l’activité, supervision).
Préparation et conscientisation de l’entraîneur et du coordonnateur de l’entraînement
- La démonstration des habiletés requises doit avoir lieu dans une piscine, dans une eau peu profonde, au bord d’un lac calme, ou dans une baie abritée.
- Avant la participation, les entraîneurs, le coordonnateur de l’entraînement et les instructeurs qualifiés doivent connaître les habiletés en natation, le degré d’aise dans l’eau et l’expérience de chaque élève, ainsi que l’environnement aquatique dans lequel l’activité se déroule (par exemple, lacs, étangs, rivières). (Voir le modèle de questionnaire d’évaluation des habiletés et du degré d’aise en natation).
- L’entraîneur, le coordonnateur de l’entraînement et toutes les personnes qui aident au déroulement de l’activité nautique (par exemple, instructeurs qualifiés, bénévoles) doivent savoir qui sont les élèves qui n’ont aucune expérience ou habileté ou dont les expériences et les habiletés de natation sont limitées dans l’environnement où se déroule l’activité (voir le modèle de questionnaire d’évaluation des habiletés et du degré d’aise en natation) et porter attention aux élèves qui manifestent ou expriment leur réticence dans l’embarcation. L’entraîneur, le coordonnateur de l’entraînement ou l’instructeur qualifié doit inclure d’autres modifications au programme (par exemple, envisager de placer les élèves en fonction de leur expérience et de leur degré d’aise; placer l’élève avec ou près du membre du personnel enseignant ou de l’instructeur qualifié ou du barreur; ou équiper l’élève d’un VFI ou d’un gilet de sauvetage offrant une flottabilité accrue).
Évaluation de la natation dans l’eau
- Les élèves doivent réussir les épreuves suivantes de l’évaluation dans leur intégralité, dans l’ordre, sans aide et sans arrêt :
- Entrer dans l’eau profonde (profondeur minimale de 2,75 m ou 9 pi) par roulade arrière ou avant.
- Nager 50 m (164 pi) de façon continue, peu importe le style de nage.
- Nager sur place pendant 1 minute.
- Démontrer leur capacité à enfiler un VFI ou un gilet de sauvetage dans l’eau.
- Au lieu de réussir l’évaluation de la natation dans l’eau, les élèves peuvent fournir une preuve de certification Étoile de bronze ou d’un niveau supérieur.
- Si l’établissement aquatique public exige un test de natation (c’est-à-dire une alternative à l’évaluation de la natation dans l’eau), les écoles doivent se conformer aux composantes de l’évaluation de la présente section ainsi qu’aux exigences de l’établissement.
- L’évaluation doit être supervisée par un moniteur aquatique certifié ou un sauveteur certifié. Lorsque le moniteur aquatique ne détient pas de certificat de sauveteur ou de sauveteur adjoint, un sauveteur certifié doit également être sur la terrasse pendant l’évaluation.
- L’évaluation doit être réalisée durant l’année scolaire au cours de laquelle l’activité a lieu.
- Les résultats de l’évaluation doivent être documentés et communiqués conformément à la politique du conseil scolaire (par exemple, à l’élève, au membre du personnel enseignant, à la direction d’école, aux parents/personnes tutrices, aux guides d’excursion, aux sauveteurs, aux moniteurs aquatiques et au fournisseur externe [s’il y a lieu]).
- Les élèves qui ne réussissent pas l’évaluation de la natation dans l’eau ou qui n’ont pas de certification Étoile de bronze (ou d’un niveau supérieur) doivent être identifiés et porter un VFI gonflable ou un gilet de sauvetage gonflable muni d’un sifflet ou d’un autre dispositif de signalisation, homologué au Canada, en tout temps près de l’eau (lorsque la profondeur de l’eau pose un risque), sur l’eau et dans l’eau.
Mesures de sécurité et procédures d’urgence
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Tous les entraîneurs, coordonnateurs de l’entraînement et instructeurs doivent connaître les mesures de sécurité et les procédures d’urgence établies (par exemple, procédures en cas de chavirement ou d’accumulation d’eau).
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Les élèves doivent connaître les mesures de sécurité et les procédures d’urgence spécifiques à l’activité nautique (par exemple, exigences en matière de VFI/gilet de sauvetage; responsabilités quant à leur partenaire désigné; procédures en cas de chavirement ou d’accumulation d’eau; rester près du bateau pour l’utiliser comme radeau de sauvetage) avant de participer à l’activité.
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Les élèves doivent connaître l’emplacement de l’équipement de sécurité disponible et savoir comment l’utiliser.
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Après avoir reçu les instructions initiales, les élèves qui doivent porter un VFI gonflable ou un gilet de sauvetage gonflable doivent démontrer leur capacité à en choisir un qui leur convient et à le fixer correctement.
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Les élèves doivent connaître les réactions physiologiques à l’immersion dans l’eau froide (par exemple, réflexe inspiratoire, hyperventilation, accélération du rythme cardiaque, spasmes musculaires, perte de sensation et de contrôle musculaire).
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Avant le début de chaque séance, l’entraîneur doit informer le personnel approprié (par exemple, un employé de l’endroit) de l’heure du début et de la fin de l’activité sur l’eau.
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L’entraîneur ou le coordonnateur communautaire de l’entraînement doit connaître le plan de mesures d’urgence (PMU) du site, y compris le plan de sauvetage spécifique au site, et le partager avec tous les moniteurs et participants.
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En cas d’urgence, un trajet de retour doit être préétabli.
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En cas d’urgence, des procédures doivent être mises en place pour assurer le dénombrement des embarcations, des entraîneurs, des coordonnateurs communautaires de l’entraînement, des instructeurs et des élèves sur l’eau.
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Un plan de sauvetage pour le site utilisé doit être établi et partagé avec tous les entraîneurs/surveillants et les élèves.
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En cas d'accident, il faut demander aux élèves de se tenir à la coque et aux rames pour flotter et demeurer visibles.
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Si une coque est inondée (prend l'eau), les rameurs ne doivent pas tenter de nager vers la rive, mais ils doivent demeurer avec la coque et l'utiliser comme flotteur, puis suivre ces étapes :
- Chaque membre de l'équipage se dénombre et retire ses pieds des chaussures. Tous doivent rester à leur place si possible.
- Effectuer un signal de détresse.
- Si nécessaire, l'équipage forme des paires pour entrer dans l'eau à partir du milieu de la coque.
- Placer les rames pour qu'elles soient parallèles à la coque afin d'augmenter sa flottabilité.
- À moins que le sauvetage soit imminent, déplacer l'équipage vers la proue et la poupe et faire chavirer la coque (quille vers le haut) avec le vent. L'équipage doit se coucher sur la coque, en sortant leur corps de l'eau le plus possible, par paire, en s'accrochant à l'autre personne.
- À son arrivée, le bateau de l'entraîneur distribue des vêtements de flottaison individuel (VFI) et compte les membres de l'équipage.
- Le bateau de l'entraîneur fait la navette et dépose les rameurs sur la rive la plus proche. NE PAS surcharger le bateau de l'entraîneur.
- Compter les membres de l'équipage au retour.
- Ramener la coque.
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Des procédures doivent être mises en place pour assurer le dénombrement des coques, entraîneurs et élèves sur l’eau à tout moment, en cas d’urgence.
Supervision
Une supervision sur place est requise lorsque des élèves qui ont reçu une formation manipulent et déplacent l’équipement (p. ex., manipulation, portage, mise à l’eau et retrait de l’eau des embarcations).
- Une supervision sur place est requise pour la durée de tous les autres aspects de l’activité (p. ex., exercices d’échauffement et de récupération, mise en pratique des habiletés et des jeux).
Ratios de supervision
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1 entraîneur pour 9 rameurs débutants
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1 entraîneur pour 18 rameurs expérimentés
Compétences
- Le conducteur du bateau de l’entraîneur doit détenir une Carte de conducteur d'embarcation de plaisance.
Compétences de l'entraîneur
- Tous les entraîneurs doivent rencontrer l'entraîneur en chef du club d'aviron (s'il y a lieu) avant le début de la saison et rester en contact durant la saison.
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Au moins l'un des entraîneurs doit posséder l'une des compétences suivantes :
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Entraîneur de compétition du PNCE - Entraîneur de RCA
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Certification de personne-ressource en aviron du PNCE
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Ancienne certification de niveau 1 ou 2 en aviron du PNCE
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Avoir participé, au cours des trois dernières années, à un cours pratique ou à un atelier offert par un instructeur compétent en la matière (par exemple, enseignement progressif des habiletés appropriées), durant lequel le thème de la sécurité a été abordé, tel qu'indiqué dans les Normes de sécurité de l'Ontario pour l'activité physique en éducation.
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Avoir été entraîneur d'aviron au cours des 3 dernières années avec les connaissances appropriées du sport en question (par exemple, enseignement progressif des habiletés) et des pratiques sécuritaires actuelles décrites dans les Normes de sécurité de l'Ontario pour l'activité physique en éducation.
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Secourisme
- Un entraîneur/surveillant doit prendre la responsabilité de fournir les premiers soins aux élèves blessés pendant toute la durée d’un entraînement ou d’une compétition et doit suivre le protocole de commotion cérébrale du conseil scolaire et l’intervention de secourisme de l’école (consultez Intervention de secourisme et premiers soins).
Définitions
Wed, 08/20/25 09:45 am